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28 août 2011 7 28 /08 /août /2011 22:31

2011-08-15 16.37.06[0]La rivière et ses bains de 10h, 16h ; 20h et pas trop tard; on a peur du noir; le chemin est trop instable sans compter les drôles de bébêtes!

 

2011-08-15 16.28.13 

 

à l'eau 11

à l'eau 15

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

ed,cha et jeffSous le soleil, sous la pluie

2011-08-15 16.27.33 

 

La rivière, son courant puisqu'en fait c'est un torrent de montagne, ses cailloux qui vous scient les pieds; n'est-ce pas Richard?

Ses poissons tous petits qui chatouillent et les plus gros qui me font sortir en courant: j'aime pas le froid visqueux!

Les jeux folkloriques des garçons qui se font une queue-leuleu d'enfer en se lâchant portés par le courant; le dos qui ripe sur les gros cailloux; parfois.

à l'eau 5

 

ça fait mal! Je remonte...hélène remonte

 

 

 

 

 

 

 

Trop durdur; la vie de maman et de tante noyées! richard, mam charles aidé par ed

 

  

 

 

 

 

 

 

 

 

Eve et Hélène

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23 août 2011 2 23 /08 /août /2011 14:51

cool le soir apéro

le repos bien mérité autour d'un apéro, après un long trajet!

 

 

Si, si; deux bouts de maman devant, avec côté passager un chien entre les jambes de 53 kg: Cookie;

puis deuxième rang de siège, un Julien, un Jeffrey et un Richard

troisième rang, Edouard et Charles avec la cocotte pour faire des pâtes pour dix; chacun son sac à dos; ou sac plastique genre manouche pour Julien; les deux portables; quant à nos sacs de femmes... étaient écrasés, dans ce qui devrait être un coffre... ATTENTION! Ne pas ouvrir, ça tombe.

 

eve conduitedouard in auto

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 charles dort in auto

 

  julien in auto

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

ça dort, ou ça pogotte cela dépend des coups de barre de le nuit!

Mais à l'arrivée, il fait jour; ça s'endort...

 

 

jeff in auto-copie-1               Tout le monde est naze! Vivement l'arrivée où on pourra sauter dans l'Agly, se rafraîchir...

 

 

 on a usé les 80 chansons pour les petits, en chantant à la pêche aux moules, les marionnettes et frère Jacques en direct sur son téléphone portable pour minou, resté au bercail avec les petits!

 

 

De bons gros fou-rires sur les aires d'autoroute en allant faire une pause pipi-café, qui durait 1/2 heure à chaque fois; paraît que nous faisions "cougars"... bien que plutôt maman et tata, qui avons semé la "honte" à nos enfants...

 

Trop la honte la mère et la tante :richard in auto                         Il ne manque que la photo du chien, oui! Mais oui; tout ce petit monde était dans ma berlingo: YO!  Mamévehél et jeff

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4 mai 2011 3 04 /05 /mai /2011 10:17
                           
    Le menuet des non-dits est fait sur un rythme à trois temps avec un thème SAPPE.
Ce menuet est composé de soupirs face à la surdité, de blanches dans l'aveuglement, et de double-croches pernicieuses et perverses.
Communiquer: quelle horreur!  Pourquoi"parler", se parler? à quoi ça sert?
Remuer le "caca" et faire monter la tension.
Il y a là le premier temps où l'abcès n'ayant jamais été perçé provoque l'hystérie, la colère, la tristesse de l'incompréhension.
Le troisième temps de ce menuet finit tristement par des au-revoirs.
Il y  avait trois autres temps en parallèle, trois familles; celle d'origine puis celles créées qui se sont construites ou détruites.
Ce lourd menuet où l'on parle de l'autre, sur l'autre; plutôt que s'adresser à celui-ci.
Parler à cette personne fautive de ne plus être celle que l'on a connu; il y a vingt ans.
On dit "oui" à cette personne devant un prêtre avec des phrases telles que "la chérir"  "l'aimer"  "lui être fidèle"; oui, certainement à l'instant T de la promesse; on le fait, on le dit, on s'aime, on est sans expériences de la longétivité du partage.

Comment dire "oui" à une personne?

Tu ne sais même pas toi-même comment tu seras dans dix ans, vingt voire trente ans; peut-être serai-je aigrie? Peut-être deviendrai-je malveillante, pernicieuse?

Comment savoir?

Mes rancoeurs, mes douleurs peuvent devenir un poids qui peut me faire basculer vers une autre personne que je ne croyais jamais devenir.

La seule voie à emprunter est celle de la COMMUNICATION avec toute l'écoute, tout le respect des différences que cela induit.

 

Ce menuet est pour certaines personnes des notes qui doivent rester dans le premier temps pour toujours avoir le contrôle de la situation, ne rien dire  pour ne pas gaffer, ne pas exprimer ses sentiments , ses sensations afin de ne pas agresser.

Bien entendu, parler "vrai" amène des secousses par l'écoute  (qui peut-être un viol de sa personne, de l'image de cette personne que l'on croît être ou que l'on se persuade d'être); alors souvent on se tait même si cela est énergétivore; car au fond de nous, on sait que les mots dits en face ont une part de vérité même s'ils ne sont pas vécus de la même façon.

 

Faire le calme alors que tout bout à l'intérieur; c'est pire, ça détruit à l'intérieur.

Je sais que mon ressenti est troublé par la perception de mon émotion brûlante d'une douleur qui n'a jamais été évacuée.

Bien que quelques heures passées avec l'être qui fût mon image avançée dans le temps me réconcilièrent avec mes mensonges. Petite lorsque je disais la vérité, personne n'entendait; alors que mes mensonges irréels abracadabrants éveillaient la curiosité et l'attention. Le fait d'entendre ma mère me dire qu'en effet ces vérités avait eu  lieues d'exister: je compris que sur ce point, j'allais enfin être en paix avec moi-même.

 

Comme quoi, même si les discussions ne sont pas toujours plaisantes; il faut qu'elle soient.

Tout le monde de génération en génération fait des erreurs; le reconnaître et en parler apporte Respect et Amour.

 

Tu n'as même pas encore soixante-dix ans que tu en paraîs 90; tu vieillis prématurément parce que garder pour soi les non-dits dévore le coeur; et que la machine étant humaine finit par lâcher.

Ton cerveau domine, mais ton coeur juge et gère.

 

Ton cerveau peut s'arrêter mais le coeur continue de battre; j'en suis la preuve vivante; tandis que si le coeur s'arrête le cerveau défaille.

 

Pourquoi communiquer avec une personne qui vous quitte? qui vous fait du mal?

Elle est le mal incarné, elle est agressive en réponse à de l'agressivité, face à sa propre culpabilité.

Qui est à l'effigie de la méchanceté? Est-ce vraiment une personne? A-t-on vraiment besoin d'un responsable?

Ne doit-on pas simplement prendre ses propres responsabilités?

 

Le temps,   passe....  Pas de victimisation ou d'accusation, s'il vous plaît.

 

Un couple est un montage de deux icônes pour faire un binome.

Il y a un dérapage, un guidon dont on perd le contrôle parce que la chaîne déraille ou est-ce la chaîne qui déraille amenant l'incontrôlable perte de contrôle du guidon? En tout cas, c'est une chute.

Personne ne peut se mêler d'une réparation, d'une démission d'une des personnes.

Il faut se retrouver l'entière capacité d'être l'icône dont d'ailleurs le deuxième avait été épris.

 

Un menuet à trois temps composé de trois familles n'est pas le premier temps s'emmêlant au deuxième.

 

Aider, c'est soutenir quelqu'un pour qu'il gravisse la première marche vers son autonomie, non être sa canne et en devenir son "besoin"

Et si, dans ce premier temps; il y a le fantôme des erreurs passées qui hante.

On ne s'en sort pas.

 

L'évolution est une longue démarche où le mouvement fort de celui-ci est la communication.

 

 

Communiquer sans remords, sans regrets avec justesse, avec se propres erreurs accueillies en plus, comme un plus, pour mieux changer.

Je ne suis que cette femme rongée d'amertume de ne jamais avoir été entendue. Je ne suis que cette mère qui gesticule et brasse de l'air; mais qui enfin, se pose, se pause...

(j'aime les homonymes)

pour parler "vrai" avec ses enfants et les entendre pour mieux les écouter et les comprendre.

Aimer, c'est communiquer.

Aimer, c'est respecter la part (même secrète) de chacun.

Aimer, c'est pouvoir vieillir apaisé.

 

Mamève

 

PS: J'aime ou j'ai aimé chacun de vous pour ne jamais vous oublier; et petit aparté pour Frédéric et Marie-Paule.

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21 mars 2011 1 21 /03 /mars /2011 10:59

  

Les jours passent, Mars s'en est allé en nous apportant à Jacques et moi, une année de plus à ne jamais cesser de s'aimer.

 

 Le printemps est de retour, Hélia s'atèle à la décoration de son jardin:

PICT0006

 

Nous avons, chacun fêté nos anniversaires, ensemble bien entendu.

 

anniv 1

 

   Joli bouquet de trente-neuf roses arrivé en colis express de papa et maman.

 

Cette fois, ce n'est pas la chambre d'un enfant que nous avons faite; mais la nôtre!

 

J'ai eu 39 ans, ouais  ça y est, enfin je suis dans la quaranraine, j'adore ce chiffre tout en rondeur et en finesse!

anniv 1-copie-1

 Ce sera 45 pour Jacques; et plus on vieillit, plus on s'arômatise comme un bon vin.

 

Les années passent, le monde change; je ne pense plus ce que je pensais avant; l'évolution...

 

La vie est un des plus cadeaux qu'il soit, entourée d'amour et de respect; cette vie est merveilleuse!

 

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9 février 2011 3 09 /02 /février /2011 09:24

Après une journée révision

leçon on/ont

verbe aller

les homonymes tente/tante avec hélia absente de l'école depuis dix jours.

Youpi;

 

tralala;

 

ah non, papalapala...

   ô

 

yér, vla gada tsoin pim poum

 

On va chanter ce soir, c'est mercredi!

YES

 

Mamève dans une crise onomatopée.

Dans notre registre aussi celle-là.

 

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1 février 2011 2 01 /02 /février /2011 15:40

Je pense que je peux saoûler beaucoup de personnes avec "ma" communication, disons que je cherche à entrevoir une ouverture d'esprit sonnant juste, tout au moins pour moi car ce que je cherche c'est me respecter moi-même sans curiosité, juste aimer écouter et partager.

Je voudrais comprendre chacun de ces êtres qui me touchent, qui ont une importance pour moi, ces personnes qui entrent , sortent, passent dans ma vie; ces personnes qui vont et viennent de mes enfants à mes copains d'enfance en passant par mes parents, tout en passant par mon meilleur ami ou une rencontre devenant une connaissance aussi furtive soit elle.

 

Les gens passent, vivent avec leur amour de soi ou la recherche d'un amour, l'amour de son prochain, toujours avec un vecteur essentiel : l'amour.

   

 L'écoute, une programmation essentielle de l'être humain, est la plus riche des sensations qui soit.

 

Maintenant, est-ce que j'écoute en entendant, en comprenant? En tout cas en respectant la personne qui est en face.

 

Aujourd'hui, un bébé est né, et il est déjà dans l'empathie envers sa mère; c'est ce monde de consommation qui nous rend individualiste, puisque spontanément un enfant s'inquiète du sort de l'autre, que ce soit un enfant ou un parent, enfin un proche dont il a la connaissance.

   

 Un enfant humain est plein de ressources et d'attentions pour un autre plus "faible"; comportementalement.

 

Je me souviens d'Edouard venant prendre ma main pour m'amener à Richard nourrisson qui pleurait, du haut de ses 18 mois; il était à l'écoute de la détresse de son frère.  

Lui qui a tant protégé son frère en jouant le "grand" depuis sa naissance, pour soutenir maman qu'il sentait fatiguée des pleurs incessants de son petit frère et de l'absence de son père bossant comme un forcené; puis jouer les redresseurs de torts afin de guider Richard puisqu'une absence de mère (disparition accidentelle non expliquée aux enfants), il s'est fait repère de son frère; maman n'avait jamais compté sur papa, alors il fallait qu'il prenne ça en charge pour remplacer maman et devenir le repère de son frère.

 

Et là encore, soutenir, prendre en charge, ... Parler, parlons, mais ne laissons pas les non-dits polluer notre existence, nos existences quelque soit notre âge: un an , trois, sept, dix, quinze, seize ans, trente-neuf ans  ou quarante-cinq ans; et pourquoi pas 68????

 

Pas d'âge pour se parler, pour écouter, pour entendre et se comprendre.

 

Ne jamais laisser de questions sans réponses, ou pire laisser le silence s'installer; expliquer, parler... pas de la pluie et du beau temps comme on le fait poliment avec un voisin; mais de l'essence même du bien-être ou du mal-être parfois.

 

Peut-être suis-je dans la réconciliation avec moi-même? Les non-dits, les souffrances nées enfant parce qu'elles n'étaient pas écoutées, entendues, perçues?

 

Je me souviens que vers quinze ans, je construisais déjà la mère que je deviendrai en réponse à celle que j'avais eu et que je ne voulais pas être.

 

Quelle erreur!

La vie est un don, je n'ai pas fait mes enfants pour réparer mon enfance, mais pour qu'ils vivent leur propre vie.

D'ailleurs, ils auront les résultats qu'ils se donnent; ce n'est pas que je m'en moque; bien au contraire, mais ce n'est pas l'unique centre d'intérêt envers mes enfants. Comme n'importe quel parent, je souhaite qu'ils soient heureux, et accomplis envers eux-mêmes, qu'ils se sentent bien.

 

Pour cela, je serai toujours à leur écoute, prête à essayer de comprendre ce qu'ils me diront parce que je ne comprendrai peut-être pas.

 

Sans jugement, sans attente personnelle; être à l'écoute et amener un échange; voilà ce que j'aime, et qui rend ma vie si riche de bien-être.

 

   Voilà, ce sera tout pour aujourd'hui; juste une citation dont je ne sais de qui elle vient ou quel livre:

"Le  tendresse comme l'amour sont les seules choses qui s'agrandissent en se partageant."

 

                               Je la trouve jolie!

                                   Mamève


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1 février 2011 2 01 /02 /février /2011 12:00

 

 

 

Une évidence, je ne suis que ce que je fais!

 

La communication, c'est un échange sans prendre la place de l'autre; déjà entamer une conversation par "je" sans omettre l'autre, qu'il puisse exprimer le "tu".

 

Pratiques habituelles du           système SAPPE

            Possibilités 

      DE FAIRE AUTREMENT

           Moyens à se

                DONNER

Parler sur l’autre

Parler à l’autre

Je parle de moi, j’utilise le « je »

Rester dans le « on » et

dans les généralités.

Se positionner

S’affirmer

Je témoigne

Je m’implique

Vouloir faire pour l’autre ou à sa place, pour son bien.

Inviter l’autre à se dire

J’ose me différencier tel(le) que je suis.

Réagir dans l’OPPOSITION

Ou dans la SOUMISSION

Privilégier l’APPOSITION.

Je refuse la polémique.

Je renonce à l’approbation.

Recourir aux sentiments comme argument refuge.

Différencier sentiments et relation.

Je fais porter l’échange sur les enjeux de la relation.

Rester centré sur les peurs et les entretenir.

Reconnaître le désir qui se cache derrière toute peur.

Je prends le risque d’écouter mes désirs (ce qui ne veut pas forcément dire les satisfaire).

Cultiver la victimisation et l’aide/assistanat, ou l’accusation.

Se responsabiliser dans ses propres actes et ses engagements.

Je prends conscience que je suis co-auteur de toutes mes relations.

Confondre la personne et son comportement.

Différencier la personne de ses actes, de ce qu’elle fait.

Je m’interroge sur le sens de mes comportements.

Chercher à supprimer les symptômes et les comportements atypiques.

Au-delà des causes, entendre les symptômes comme des langages, à part entière.

J’écoute, je me décentre pour permettre à celui qui parle d’entendre ce qu’il dit.

 

Toujours en plein travail sur la communication essentielle et saine avec tout entourage, je vous livre quelques petits trucs que je retiens et que j'essaie de mettre en vigueur.

 

Tout de même, je m'interroge sur ce vaste monde rempli d'incompréhensions, du coup de haine...

 

Répondez en commentaires, posez vos questions, ou posez vos réponses. Le but recherché est l'échange, pas de guider ou d'apprendre; juste l'écoute.

 

mamève

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7 janvier 2011 5 07 /01 /janvier /2011 10:43

  Je ressens parfois le mal-être des gens en pleine figure, je me sens souvent impuissante et je me dis quand même, je devrais pouvoir faire quelque chose.

L'empathie (dont je souffre) est une émotion difficile à gérer parfois, alors où est la limite?

          - celle de ne pas se mêler de ce qui n'est pas chez moi?

          - celle de se préserver, donc préserver les tiens?

          - et faire face à Ma vie  quotidienne? mais j'ai plein d'aspiration pour un monde plus paisible...

 

 

 

   Voilà, cette chanson résume bien nos vies, nos petits soucis, nos soucis à l'échelle de notre pays et aussi planétaire; mais oui malgré tout, avoir l'optimisme d'entrevoir un avenir; et pourquoi pas meilleur? 

Comment supporter la douleur des autres, de nos voisins et se coucher en partant dans un profond sommeil?
Je n'ai aucune solution; le faire peut-être déjà chez nous;
se battre contre le système SAPPE
Sourd Aveugle Pernicieux Pervers Energétivore
avec la méthode ESPERE
Energie Spécifique Pour une Ecologie Relationnelle Essentielle.
Entre nous, s'écouter vraiment et se trouver une position; c'est guère facile!

 

J'ingurgite Salomé; psychologue, formateur en communication, en long et large à travers sa trentaine de livres, qui sont parfois juste des rapports de gens comme nous, qui se battent dans leur quotidien avec leur quotidien; comme nous tous.

 

De lui la dénomination du système SAPPE, j'essaie de prendre conscience du possible; mais dans les dédales de la vie; je n'y arrive pas toujours.

Prendre conscience de qui tu es, et non la certitude aveuglante que tu es devenu ce que tu es déjà; la suite logique de la trame familiale.

Tu es ce que tu veux devenir, sans ressemblance, tu n'es que toi-même.

J'ai grandi, vis à vis de l'école, dans une insécurité constante, une non-confiance dans un imaginaire pétri par un père exigeant à outrance qui a inhibé tout mon "moi" et je mentais, je me mentais pour être ce qu'il aurait voulu que je sois.

Aujourd'hui, je sais que j'ai été aimée, que je ne manquais d'aucun soin; juste un peu de communication véritable.

C'est important de savoir et de comprendre le fond du problème pour ne pas jouer le même scénario avec ses propres enfants.

 

Comment être une mère attentive, une femme épouse digne de ce nom et le tout en accord avec moi-même, mes aspirations en acceptant d'être responsable de ma propre vie; puisque je suis partie prenante de celle-ci?

En fait, je ne sais si je le suis mais j'écoute les critiques de mon entourage. Elles ne sont pas toujours plaisantes à entendre, pas toujours justifiées; mais elles sont verbalisées et entendues.

Biensûr, le manque de confiance en moi ressurgit au grand galop, fort de mes faiblesses, mais je sais dire "je fais" sans besoin de justification.

Je me fais confiance comme mes amours ont confiance en moi; avec la certitude que tout le monde a le droit à l'erreur.

Personne n'est parfait, en fait la perfection est concept bien étrange, et étranger à tous puisque personne ne pense ou n'attend les mêmes choses.

 

Si aujourd'hui, je ne suis plus la mère que j'ai été aux premiers venus, j'assume et oui, j'élève différemment Hélia et Longwen mais la vie est faite de multiples naissances (encore une conception de Salomé) et j'en ai faites...à chaque étape de ma vie, j'ai grandi.

 

Hélia sera ce qu'elle veut, elle a en elle la confiance et l'amour des Hommes: je dois dire que je n'en suis pas peu fière. Elle est tout aussi empathique que moi, mais sainement.

 

Edouard cherche ce qu'il va devenir, décidé et arrêté avec ses convictions et ses questions; il sera ce qu'il veut être.

 

Richard recherche un devenir, ou peut-être simplement une existence sans le poids d'une fausse communication. Le système éducatif est pervers; un professeur pose une question, il attend Sa réponse ou celle du livre, pas les réponses de ses élèves. Communiquer est à redéfinir, à apprendre. Donc un enfant qui n'entre pas dans le système est un mauvais élève sans être un cancre; il ne reçoit juste pas les savoirs dont il aurait besoin pour justement avoir ce goût à l'apprentissage que la société exige de lui.

 

On devrait arrêter de se juger, de se dévaloriser, arrêter les phrases et les réponses toutes faites en réponse aux idées reçues des autres; nous sommes tous emplis de fausses vérités depuis la nuit des temps, en commençant par notre culture messianique.

Réalisons la force et la puissance de nos conditionnements qui nous amènent à attendre du ciel, d'un sauveur, d'un événement ou de l'autre (celui qu'on choisit pour partager notre vie) qu'il fasse pour nous, qu'il apaise nos souffrances.

C'est foutaise tout ça, cette force d'être et de vivre n'est qu'en toi-même.

Restons fidèles à nous mêmes sans fausse fidélité.

 

Et voilà, chacun son périmètre, ce qui n'empêche pas être là.

 

Prenons un exemple concret, qui nous arrive tous, ou qui nous est tous arrivé: le bordel de notre chambre...

Quand tu es enfant, n'as-tu jamais entendu "range ta chambre d'abord" ou autre exigence suivi de chantage affectif ou violence verbale...

  Je ne veux pas devenir le tyran du ménage et du rangement; chacun a son domaine et respecte celui de l'autre; et les zones communes.

Chacun a le droit d'assumer sa crasse, son bordel chez lui, dans son monde tant qu'il ne pollue pas les autres. Respecter autrui ne veut pas dire obéïr à l'autre (père, mère, ami, frère ou soeur etc...)

Sans compromis, juste communiquer les choses essentielles en parlant chacun de son ressenti : "Je ne peux pas entrer dans ta chambre pour te faire ton câlin du soir" bonne nuit sur le pas de la chambre.

           Et les jours passent, et une route propre s'installe de la porte au lit, pour le câlin.

  Bien.

Oser dire sans ordre, sans chantage, sans attente de réponse, sans terrorisme verbal,

"c'est l'heure de se coucher"

pas de "tu vas être fatigué" ou autre accentuation négative.

 

Enfin, bref surmonter nos angoisses venues du monde SAPPE et aimer les siens, tous.

Nos amours et aussi tous, en respectant la nature humaine et ses différences sans poser un quelconque jugement.

Qui serions-nous pour poser un jugement?

Les parents, les vieux, la sagesse? Peu importe, tout le monde a le droit d'avoir son avis, de le penser et de le dire et le respect dans la vraie communication commencera par l'écoute de l'autre aussi différent soit-il.

                                                        Nous sommes tous des hommes, tous.

             "Et raison de plus pour faire une chanson d'amour.... d'amour ^^"

 

                                                                                           mamève

 


 


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6 janvier 2011 4 06 /01 /janvier /2011 09:58

Après un arrêt de presqu'un mois (intempéries, vacances..)

 

enfin, je suis allée chanter... faux, il pleut ce matin!

 

Ce fût agréable de retourner s'époumoner avec un groupe afin d'essayer de donner quelque chose d'agréable à entendre... bin, c'était pas le cas hier soir.

Comme quoi l'entraînement et le quotidien, y a rien de mieux!

 

Thierry nous a concocté une chanson reprise de Mika; non pas le chocolat au lait; mais le chanteur anglais, d'ailleurs nous faire chanter en anglais sort de l'ordinaire et relève du défi.

Mais bon, on va essayer.

 

Reprise difficile, sauf pour les deux enfants qui étaient heureux de retrouver Lakmé, leur babysitter.

 

Allez; à la semaine prochaine plus pétillante....

 

papalalapala... terre... pas chassé, pas de deux...

 

mamève

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4 janvier 2011 2 04 /01 /janvier /2011 11:00

Une année passée: une année de plus; des envies, des restrictions budgétaires, des enfants grandissant, une politique relevant de plus en plus de l'individualisme....

   " où va le monde?!!"  phrase fétiche

et "on va tous crever!" Atlandide madame Placard avec son mégot au bec... une référence!

mme Placard, Atlantide 

Une année derrière nous, et en avant vers une nouvelle!

 

De nouveau les allés et venus école-maison maison-école quatre fois par jour, à 300 m aller donc huit fois par jour pour moi, ça fait un total de 2km 4.... c'est bon ça pour ma gymnastique journalière!

 

Courir

 


C'est reparti pour un tour!  Vivement les vacances, les grandes... M'aérer la tête ailleurs avec Minou.

 

Quoi encore?

Téléphoner aux copines... j'aime pas le téléphone, et puis j'ai rien à dire.

 

Boire un café tranquille, accoudée au bar pendant que minou fait à manger:  c'est bien ça!

 

Bon, sinon; bin rien; juste du bonheur à vous tous que j'aime; si vous me lisez forcément; n'importe qui ne s'y aventure pas sur ce vidoir pensées-journal de vie de mes amours.

 

Au plaisir

 

Bonne année, allez je l'ai fait, je vous la souhaite, c'est la tradition et puis c'est sympa ce côté "espoir" d'une future bonne année;... même si on va tous crever^^

 

Mamève

victoire des filles

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