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17 novembre 2008 1 17 /11 /novembre /2008 10:43

" Exigez la liberté comme un droit, soyez ce que vous voulez être"

Richard BACH dans ce qui est pour moi le plus bel ouvrage philosophique: Jonathan Livingston le goéland.

Mamève
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9 novembre 2008 7 09 /11 /novembre /2008 16:23

Pauvre Dora, d'habitude les enfants l'admirent: quelle idée! Longwen lui fait sa fête.

Richard redonne des forces à Longwen afin qu'il se régénère pour attaquer Edouard. Après Dora KO, ce sera Edouard?

Et là, c'est une attaque démoniaque que de se servir d'un jeu vidéo pour en venir à bout, parce que quand même mon frère est trop fort!

Longwen
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8 novembre 2008 6 08 /11 /novembre /2008 13:04

Rien de mieux que le rire,
C'est d'ailleurs marrant qu'il dénote notre état d'esprit, on rit à gorge déployée quand on est enfant, qui ne se souvient pas de fous rires avec frère ou soeur, ami(e).

Que de fous rires, j'ai eu avec Hélène dans sa chambre ou dans la salle de jeu, en se prenant du lait concentré sucré et des marshmallows, en regardant sa crème dépilatoire à Mers-les -Bains.
C'était bien!

Ne dit-on pas que le rire est la santé?
Il paraît même que c'est une source de jeunesse.

Mais on peut perdre la notion du rire, après Hélio-marin ce fût mon cas.
 Le retour à la vie était difficile sans rires, sans larmes; j'en avais tellement versées que la source était asséchée, parce que dans cette chambre de six cérébrolésées, je n'avais pas arrêté comme le disait Apollinaire "Les yeux troublés par les larmes qui ne tarissaient plus".
Le rire est revenu, à la force de Jacques qui jamais n'a baissé les bras pour que celui-ci revienne, il est revenu, fragilisé mais il est revenu.

J'aimais Gaston Lagaffe, de par les goûts de ma mère, mais en fait, c'est plus que cela: un vrai remède!
Jacques me les a tous offerts pour mes 33 ans, car il lui suffisait de m'en proposer la lecture pour que mon rire vienne échauffer la pièce.
Discrétion assurée.

Surtout, n'oubliez pas de rire!

Depuis ce nouveau sens de la réalité, j'ai tendance à tout prendre avec dérision.
D'ailleurs, il faut relativiser, les priorités sont celles qui sont vitales; manger, boire, être au chaud... et finalement, aimer et être aimé: on n'en revient toujours au même. Et surtout vivre, et se rendre compte qu'on est en vie par le biais de la communication, bien entendu!

Aujourd'hui ce sont les rires de mes enfants qui sont une force, même moi j'en ris et j'aime ça.


ça décoiffe le rire! Et ça fait du bien à tout le monde.
Je n'ai jamais autant ri pendant une grossesse que celle de Longwen, ce doit être pour ça qu'il rigole tout le temps.

Mamève

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6 novembre 2008 4 06 /11 /novembre /2008 16:50

 


Le moins que l'on puisse dire, c'est que maman ne comprend pas tout!
Elle mélange tout, ça doit être l'âge.
Sans compter qu'elle me dit de dire bonjour à papa, alors que c'est le soir et qu'il va arriver: franchement!!!
J'ai beaucoup de patience avec elle, parce que comme dit Richard 
"elle n'est pas bien méchante", moi je trouve même qu'elle est comme Karaba.
La souffrance, souvent, rend méchant.
Quand on lui a retiré l'épine du dos, elle est redevenue gentille; et bien maman c'est tout le temps qu'elle a mal au dos, et des fois à sa fatigue, je vois que sa douleur n'est plus tenable, elle est irritable.
Je lui dis d'aller se reposer pour que sa douleur s'estompe.
Elle le fait, me dit toujours qu'elle m'aime et qu'elle est fière de moi.
Il faut le dire, je suis très à l'écoute des autres.
C'est un don!
Et je sais que mes parents en sont très fiers, mais il y a de quoi: non?





Heureusement, j'ai un petit frère avec lequel j'échange de façon compréhensible...
pour moi... Vous comprenez ce qu'il dit, moi oui, mais des fois c'est pire.

Il rigole dès qu'il me voit, je vais finir par croire que je suis une comique.





Il est terrible mon frère c'est vrai qu'il est un peu dragon
mais en fait, c'est une bonne pâte: il est toujours en train de rigoler et de chanter des paroles que seule moi comprends.
Je suis trop forte! Il faut dire que j'ai aussi parlé ce jargon, il n'y a que maman pour ne pas comprendre; déjà qu'elle ne fait pas la différence entre un robot et une voiture, je ne vous dis pas sa conduite!



Hélia
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6 novembre 2008 4 06 /11 /novembre /2008 08:56

Sortir d'Hélio-marin.
Retrouver la lumière du soleil.
Avançer d'un pas incertain,
Et ô merveille!
Révélation,
Promesses,
Conception,
Ivresse.

Et enfin, la lumière est entrée dans ma vie,
Là ce fût Hélia qui
En était le SOLEIL!



Et j'ai retrouvé l'espoir,
combattu le noir,
Et c'est la lumière de ses yeux,
qui m'a rappelée que vivre est fabuleux

 Mamève
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5 novembre 2008 3 05 /11 /novembre /2008 14:35
 Cette chanson! Qu'est-ce qu'on a pu se la chanter dans nos aller-retours en voiture, de 2003 à 2006.
Il y avait Eve,
il y avait Edouard et Richard.

Les plus merveilleux souvenirs des plus beaux trésors:
mes deux premiers garçons qui sont ma fierté et une clarté de la vie qui vous pousse à revenir dans le monde des vivants.
 Et ces deux petits gars biens en tout point, normal les miens!!!
 Ont été mes meilleurs souvenirs et bons souvenirs d'une vie partagée à trois.

Des moments si joyeux, si marrants, que ce n'est toujours pas étonnant qu'on se fasse des concours de...


... "prout"!

Edouard , mamève, Richard; même sous la pluie aux îles Chausey, on a toujours bien rigolé.

                                                              Mamève.


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5 novembre 2008 3 05 /11 /novembre /2008 12:51

Cela débute aux vacances d'hiver
quand enfin, nous nous décidons à parler de ce bébé à venir, imprévu mais tant voulu.

Les filles voulaient une petite soeur, les garçons un petit frère; moi, je ne voulais pas savoir, juste un bébé en bonne santé.
Les désirs de chacun étant tellement forts, qu'il valait mieux savoir avant pour préparer le terrain.

Quel sourire s'est dessiné sur le visage des gars quand ils ont vu le tout petit truc! C'est petit une échographie!


Ce fût donc Yohann qui entrait dans la tribu.
Ce même jour, nous apprîmes qu'il fallait vérifier que ce bébé était normal: sympa!
Grippée, fièvreuse je ne pus faire mon anmiocentèse qu'à 22 semaines alors que ce bébé bougeait; ce ne fût pas sans inquiétude, et c'est à la trentième semaine qu'enfin tout était bien.
C'était les vacances de printemps.

Jacques décida que ce bébé n'avait pas le prénom qui lui convenait.
Puisque ce petit garçon décidait quand, où, les conditions de sa venue au monde; il trouva qu'il avait la force du dragon et sa manière d'être, comme ces dragons de mythologie chinoise.
 Ce fût donc "long" arrêté mais il fallait trouver le deuxième phonème, "wen" ou "an", mais la signification de "wen" fût plus appropriée: parce qu'il avait tenu bon, fort, ferme!
Qu'il avait décidé de venir dans ce monde malgré le milieu médical qui avait dit que c'était impossible; comme le dragon, il avait décidé de venir au monde et il déciderait lui même de quand il partirait.
Les dragons ont-ils existé ou pas?
Chez nous, c'est clair il y en a un, qui grogne très bien, il s'appelle gremlins à ses heures.

C'est ainsi que Longwen est venu dans son clan après un dépassement de terme, rien que pour démontrer au monde que c'était lui qui décidait; et oui,
même une cinquième grossesse peut prendre du retard.
Longwen est né à 40 semaines et cinq jours: déclenché, en plus!!!
Petit Dragon gremlins.
C'était les vacances d'été.

Petit dernier qui a horreur qu'on le compare aux autres, il ne fait rien comme ses frères et soeurs. Il a toujours une ressemblance avec un précédent mais à sa sauce à lui.

Tous les quatre aimaient les carottes et détestaient les épinards; Longwen ne voulait manger que lorsque c'était accompagné d'épinards.
 Edouard, Richard, Lola, Hélia adoraient l'eau avec des granules solubles "fleur d'oranger", Longwen détestait ça et lui raffolait du tilleul et de la camomille alors que les autres haïssaient.
Tous ont voulu dormir tard avec maman, dans le berceau à côté, lui non.
Par contre exige encore aujourd'hui des câlins avec papa seul, avant de s'endormir; et si papa n'est pas encore rentré, on s'endort sans problème mais...
quelle que soit l'heure, quand Longwen sent que son papa est rentré, il le réclame.
Que de bonnes nuits pour Minou encore et encore.


On est arrivé aux vacances 2008.

Comme quoi, il n'existe pas que l'amour maternel, mais vraiment le paternel, tout aussi important pour se construire.

Et oui, une maman, c'est bien
un papa, bien mieux
mais les deux, amoureux de surcroît, c'est fabuleux!

Ce sont le papa et la maman qui sont importants et le pilier pour grandir.

On ne peut pas grandir sans l'amour de ses deux parents, même évinçé le parent manquant sera la recherche inconsciente de l'enfant.

Comme une petite fille qui mesure 72 cm à un an et qui ne mesure que 74 cinq mois après, qui revoit sa maman en coup de vent et ne prend plus.
Une journée et une nuit enfin avec une maman qu'on ne reconnaît qu'imperceptiblement et la croissance repart, mais si discrète, car on ne la voit pas assez. Et cette petite fille n'a que cinq centimètres de plus que sa soeur âgée de trois ans de moins: chercher l'erreur!

Passionnant l'inconscient mais que de mal, il peut faire! 

Mamève

PS: Lola, même si je n'ai été ta mère qu'un an, je t'aime.
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4 novembre 2008 2 04 /11 /novembre /2008 09:49
TE HO PI

Pour vous mettre sur la voie, pas lactée mais bon ça décolle quand même.

Qui est tehopi? à part notre tribu
 
à vous de trouver, encore une question, mettez vos réponses en commentaire.

Mamève
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2 novembre 2008 7 02 /11 /novembre /2008 19:31

Les histoires d'amour,
souvent la preuve par trois.

Quand on aime, le désir de perdurer à travers le temps, vient par la conception
Quand on s'aime, l'amour se matérialise par un enfant
Le printemps frappe.
On fait en y croyant
, on se trompe.

on réitère, le printemps est toujours présent et là on perd.

Puis vient la révélation qui commençe :une histoire d'amour indescriptible et si forte que l'on s'accroche.
le printemps de nouveau fait son chemin.

Chaque premier a été un bébé de printemps,
donc né en décembre.

Décembre,
le mois du froid, du verglas, de Noël et des anniversaires.
le huit Hélia
le neuf Edouard
le treize Lola 
le quatorze ma Soeur
le seize Le Dérapage
le vingt-quatre le Réveillon de Noël
vingt-cinq Noël 
vingt-six l'Abandon.

Depuis,
c'est l'été que je préfère,
il ne gèle pas
donc pas de verglas,
Mes deuxièmes sont nés en été.
C'est une note chaude, 
qui ne fût pas une promesse pour mon premier deuxième,
mais une titanesque preuve pour mon deuxième deuxième
le dernier d'une trilogie qui ne fût pas sans merci.

Le dernier Longwen né le jour de la saint-Amour, 
sera baptisé civilement le jour de la saint-Valentin,
est le brillant mélange de quatre précédents,
Peu bavard comme Edouard
mais pas parce qu'il n'a rien à dire.
Indépendant comme Hélia
mais toujours avec un être connu pas loin.
Câlin comme Lola
mais pas avec n'importe qui.
Impulsif comme Richard
mais moins dangeureux.

Bref, Longwen n'est que lui-même.
Long: un dragon
Wen: celui qui décide, celui qui tient bon.

Deux garçons,
une fille,
une fille un garçon
le compte est bon.
La preuve par trois : un amour un enfant.
Mais deux, c'est mieux!
L'amour fraternel est si bon, pour grandir dans le parfait amour,
celui du partage, de la reconnaissance, de l'entraide.

L'amour, ce sentiment indéfinissable 
que l'homme cherche toujours,
l'amour, ce sentiment fort
que l'homme possède en lui,
l'amour que l'on donne, que l'on reçoit, 
ce sentiment étrange que l'être humain ne serait pas s'il n'aimait pas...


Mamève 

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1 novembre 2008 6 01 /11 /novembre /2008 20:16

Brûlant et sonore
Soleil et Dragon
Lumineux et Ronchon
les deux, bruyants.
C'est Hélia et Longwen: le rire ou le cri qui tue!

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